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Page:Féret - L’Arc d’Ulysse, 1919.djvu/60

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À ceux qui te jetaient une obole il faut prendre
Un tribut, n’épargnant que moi qui t’enseignai.
De ta vertu jamais tu n’auras un denier,
Tu peux tirer bon prix de tes péchés à vendre.

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