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Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome I.djvu/183

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VII

Le coup de merlin


Bien entendu, on fit le nécessaire. Ce Larsonneur, dont, en un instant, le nom était devenu célèbre, fut recherché avec autant de soin que le condamné lui-même. La foule donna des renseignements excellents sur l’un et sur l’autre : M. Martin avait vu un homme, qui n’était pas du quartier, prendre la taille d’une jeune demoiselle pour le mauvais motif. Mme Piou, qui venait de constater le vol