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Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome I.djvu/270

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LA BANDE CADET

Tous hérite de ses chers enfants qui sont morts.

Il déplia deux autres pancartes dont la première contenait quatre cents noms, tandis que la seconde, interminable liste, portait le compte de tous ses « pauvres enfants » décédés. Le nombre des morts était pour le moins double de celui des vivants.

De longues qu’elles étaient les figures devinrent énormes.