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Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome II.djvu/224

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XX

La chambre d’Albert


Vers cette même heure, il ne faisait pas encore jour, rue Pigalle, dans le petit hôtel de Souzay qui dormait, silencieux, tout au fond de son étroite avenue.

C’est seulement une heure plus tard que Mme Meyer (de Prusse) avait coutume de se mettre en campagne, chaque matin, pour porter des nouvelles de ses maîtres aux fournisseurs.