celui de gauche, devait faire le tour de la maison par le rez-de-chaussée et changer d’escalier.
Le corridor de droite contenait presque toutes les chambres que nous connaissons, entre autres celle de M. Ledoux, celle du capitaine de Royal-Auvergne et celle de Mariole, la plus éloignée du centre.
Dans le corridor de gauche, et tout près d’Hélène, habitait le chevalier de Saint-Georges, dont elle ne savait point encore le nom, et qu’elle avait vendu à terme, moyennant une somme de vingt mille livres, à cet éloquent M. Ledoux, pour épargner à Nonancourt les horreurs d’une guerre européenne. Nous pouvons certifier que la grande Hélène avait supérieurement dormi là-dessus, sans avoir aucun mauvais rêve…
Elle s’éveilla guillerette, comme le soleil descendait à l’horizon déjà ; elle avait reposé ses quatre heures d’horloge et se sentait un loyal appétit. Sa chambre était chaude ; par les soins