avec lui le galet d’Étreville, étaient étendus sur le sol, liés comme des paquets.
Royal-Auvergne s’amusait ce matin comme un bienheureux. Les éclats de rire qui étaient arrivés en bas jusqu’au fatout lui appartenaient ; les cris venaient de Gadoche et de ses compagnons, qui, n’apercevant point, au premier moment, les prisonniers garrottés, avaient crié à l’aide !
— Cette fois, monsieur le marquis de Romorantin, dit le capitaine, qui sortit des rangs, je crois que nous allons terminer notre affaire paisiblement et sans que personne vienne à la traverse.
— Prenez garde, monsieur le marquis de Crillon, répondit Gadoche hardiment, Mylord ambassadeur d’Angleterre vous a déjà notifié votre erreur ; je ne suis pas Cartouche !
— Monsieur le marquis de Romorantin, reprit Crillon ; car c’est, ma foi ! très-drôle, nous sommes ici marquis contre marquis, j’ai grande