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Page:Féval - Le Jeu de la Mort, volume 1 - 1850.djvu/219

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XIV

Sur le crucifix.


Tiennet garda un instant le silence.

Madame Marion l’examinait toujours avidement.

À son tour elle voulait savoir…

— Je sais bien des choses, répondit enfin Tiennet, sur M. Jean Créhu comme sur tout le monde ; tout ce qu’on veut cacher, je le dépiste, parce qu’il me semble toujours que mon secret à moi est mêlé au secret des autres, et que je vais découvrir enfin une trace, un indice… Mais non… rien ! jamais rien ! Derrière chaque voile que je soulève, j’aperçois un mystère