Aller au contenu

Page:Féval - Le Jeu de la Mort, volume 3 - 1850.djvu/179

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XI

Les murs de Paris.


La lettre à l’ambre était tombée aux pieds de Mazurke qui restait là, les bras croisés sur sa poitrine, l’œil fixe, le front pâle.

Sa méditation fut longue.

— C’est incroyable ! murmura-t-il enfin avec colère ; je ne suis plus le maître dans mon esprit ! Il y a là une pensée qui revient malgré moi… toujours ! toujours !… Lucienne ! ses cheveux blonds et son sourire… Est-ce que j’ai le temps d’être amoureux, maintenant ?

Il s’assit devant la table et mit de l’encre à sa plume.