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Page:Féval - Le Jeu de la Mort, volume 3 - 1850.djvu/193

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XII

Salons agréables.


Rue de l’Ancienne-Comédie, madame Oliva de Beaujoyeux.

Vous savez, cette rue qui sert de frontière aux deux quartiers voisins et si dissemblables : le pays Latin et le noble faubourg.

Cette rue moitié chair, moitié poisson, où déjà l’élégance se montre, bien qu’il y passe des quantités d’étudiants.

La rue des vieux souvenirs, la rue de Piron et de Voltaire, la rue du café Procope !

La rue, hélas ! oui, la rue qui mène à l’Odéon !