Aller au contenu

Page:Féval - Le Jeu de la Mort, volume 3 - 1850.djvu/253

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XVIII

La loge.


C’était une sorte de cellule basse d’étage, éclairée par deux bougies. L’ameublement était simple, presque pauvre : un petit divan, recouvert de lustrine, un fauteuil et une toilette.

Lovely était à demi couchée sur le divan.

Autour d’elle, il y avait des couronnes et des bouquets de fleurs.

Elle était un peu pâle ; sa tête reposait sur sa main, qui disparaissait tout entière dans les ondes prodigues de ses cheveux noirs.

Assigner un âge à cette femme eût été chose impossible. Elle était belle dans la perfection. Elle devait être jeune.