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Page:Féval - Le Jeu de la Mort, volume 3 - 1850.djvu/83

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III

La belle-de-jour.


Ce capitaine Mazurke, qui prenait les Italiens par la peau du cou, comme des chiens, pour les lancer par la fenêtre, aimait à déjeuner correctement.

Le nom de Mazurke pouvait bien être un sobriquet, car il dansait mieux que le don Juan magyar, et portait la botte hongroise avec un souverain chic. Cependant il se laissait appeler Mazurke dans les circonstances les plus sérieuses, et c’était sous ce nom qu’il avait fait la campagne de Hongrie.