Page:Féval - Le Mari embaumé, 1866, tome 2.djvu/160

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j’entrais dans cette chambre… Je pourrais passer pour complice.

Gondrin se leva et l’interrompit pour dire sèchement :

— Les embarras de votre situation ne me regardent pas, monsieur mon ami. J’étais venu vous offrir le salut et la fortune. C’est à prendre ou à laisser. Consultez-vous. Je reviendrai dans une demi-heure, et je vous conseille d’être prêt !