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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/76

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LES AMOURS

boucles abondantes sur un visage angélique.

Les yeux du malade se refermèrent. Une pâleur plus livide couvrit ses joues amaigries.

– Il n’ est pas venu ! murmura-t-il avec effort ; – Dieu me donne une mort bien cruelle !...

– Bon père ! dit la petite fille, dont les grands yeux bleus étaient pleins de larmes, – nous allons prier encore, et il viendra pour vous garder à notre amour…


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