Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/105

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
90
LES AMOURS

LES AMOURS hisme, des orgies de bas-bleus et de profes- seurs Avec un peu plus de satin, cepcndant, et d'élégance; avec un peu moias de cigares. to Jsa Jean de Maillepré fut saisi énergiquement par le mouvement de son époque. Il était jeune, génércux, ardent. Ces théories nou- velles qui ne se peésentaicnt point sous la forme austère dl'ur enseignement, mais qui sayaient se glisser jusque parci les plaisirs, avaient de doubles chances aupiès de la jeu- nesse. Les femmes avaient pris d'ailleurs le philosophisme sous leur charmante protec- tion. Vons eussioz entendu des honches roses de niarquises paraplhraser le Contral Social