Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/117

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
102
LES AMOURS

102 LES AMOURS intimes, les chroniques bavardes, les scanda- les mignons. En ce temps, il n'y avait point de journaux, comme maintenant, énormes parallélogram- mes qu'on remplit avec un peu de vrai et beaucoup d'alliage, et où, chaque semaine, un chrétien, né pour un sort moins amer, est obligé de dire aux abonnés, en un feuilleton de quatre cents lignes : « Tont Paris est aux » Eaux... Tout Paris est revenu des Eaux... » Madame la marquise de N... a quitté le mar- » quis, son mari, pour courir après un dan- » seur hongrois... La polka est née... La » polka est morte... » et autres cataclysmes de cette importance... Sous Louis XVI, c'étaient encore les perru-