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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/156

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DE PARIS.

DE PARIS, 161 dans la main de sa fille Louise qui l'aimait. Louise était belle et bonne. -C'était une de ces nobles vierges de l'Union en qui l'élé- ment aristocratique de la vieille Angleterre brille retrempé par une nature toute neuve et par cette vigueur saine des peuples adoles- cens. Raoul avait grande håte. - Mais, avant de l'appeler sa femme, il avait un devoir à rem- plir. Depuis sept ans déjà le due Jean n'avait point reparu. Était-il mort ? On avait pu recueillir çà et là quelques ren-