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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/162

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DE PARIS.

DE PARIS. 147 Leur inquiétude fat grande, car les deux familles n'en faisaient qu'une seule depuis bien long-temps, et, malgré l'influence répul- sive de madame la duchesse, les enfans de Maillepré étaiet toute la joie de la maison Western. James surtout fut bien triste. James fit depuis aux Maillepré un mal peut- ètre irréparable. Sa nature distraite et facile à entrainer l'égara une fois jusqu'au fond d'un précipice... Mais sa vie est à Maillepré.- Il pourrait | dire qu'une grande partie de sa vie fut donnée à Maillepré... Six mois environ après le départ du mar-