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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/272

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DE PARIS.

DE PARIS, 257 Vers le milieu du jour, il jetait sa robe de chambre et se mettait aux mains d'un coiffeur qui lui refaisait un visage d'homme, couronné d'une chevelure noire. Cela durait long-temps: il y avait beaucoup de travail. Après le coif- feur venait le valet de chambre, artiste ha- bile qui savait cambrer cette taille affaissée et rendre de l'ampleur aux parois fléchies de cette poitrine.-Cela durait très long-temps encore, car M. le duc avait un attirail de chiffons aussi compliqué que celui d'une co- quette à cheval sur sa quarantième année. Mais enfin le temps qu'on emploie bien ne se compte pas. A l'aide de ces soins savans, M. le duc, à l'heure du diner, pouvait passer auprès des myopes pour un homme de cin- T. IV. 17