Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/279

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
264
LES AMOURS

264 LES AMOURS je suis bien sûr qu'il est celui d'un noble ceur et d'un homme sans reproche!... - Fort bien, monsieur Denisart... Vous avez raison... Mais nous touchons au terme de la prescription... Dans quinze jours, M. le marquis, dont aucun acte jusqu'ici n'est de nature à interrompre légalement la prescrip- tion trentenaire, sera non-recevable... Dans quinze jours, saul le retour de monsieur mon cousin, le duc Jean de Maillepré, qui est mort et bien mort depuis plus de quarante ans peut-être, je n'ai absolument rien à craindre. Mais quinze jours, monsieur Denisart !... - Si j'osais exprimer mon opinion devant monsieur le duc, je Ini dirais que, dans quinze jours, bien des intrigues peuvent se noner...