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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/289

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LES AMOURS

274 LES AMOURS Henriette Masson était la fille d'un commis greffier du tribunal civil de la Seine. Le nom n'était pas splendide. La position n'avait rien qui pût tenter un jeune seigneur riche et tenant un état notable parmi les cour- tisans de l'empire. Mais Henriette était admirablement belle, -et l'on disait que le père Masson, si mince que pût être son intluence, n'avait pas été étranger à certain jugement du tribunal de la Seine, dont personne n'avait appelé, mais qui violait jusqu'à un certain point les articles récemment promulgués du Code-Napoléon. Ce jugement datait, il est le duc de Compans n'épousa Henriette qu'en rai, de 1803, et