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LES AMOURS
288 LES AMOURS que les Maillepré à l'agonie inspiraient encore à M. de Compans une véritable terreur. A l'aide d'un jeune médecin nommé Josépin qui soignait le marquis Raoul, M. de Compans sa vait exactement tout ce qui se passait dans la pauvre chambre de la galerie de Valois. I connaissait les espoirs du marquis et tremblait de les voir se réaliser. C'était à son instigation que M. Polype avait menacé tant de fois de chasser un mourant. Il voulait en finir avec ce revenant avant que les papiers et les secours attendus d'Amérique ne vinssent changer fatalement les chances de la lutte. Dans l'après-midi du mardi gras de l'an-