Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/337

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
322
LES AMOURS

322 LES AMO URS vous avoir montré mes titres, où vous m'ap- pellerez mon bien cher cousin, - et d'autres donceurs, si vous le jugez à propos. - Je le ferai... Après? Voilà tout... Cette lettre vous liera les. mains... Fiez-vous à moi pour ne pas laisser dormir dans volre secrétaire ma part des revenus de Maillepré... Jusqu'au revoir, cousin !... Sat Le due se tenait entre le marquis et la porte. Il était pâle, et le long de ses joues couraient des teintes bleuies. Son visage était effrayant de colère contenue et de haine prête à faire explosion. En passant près de lui pour se retirer, le