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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/379

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LES AMOURS

364 LES AMOURS colère cette uature paisible et lourde, mais qui trouvait au dedans d'elle, au besoin, une énergie prodigieuse servie par une irrésistible vigueurt... Ces redoutables symptômes n'échappèrent point à Romée, qui se demanda quel nouveau malheur il allait apprendre. Mais ce malheur, il ne devait point le con- naître. C'était le secret de Berthe, et Biot sa- vait garder un secret. Romée attendit un instant que Biot discon- tinuât sa lecture. - Je vous salue, mon brave monsieur Jean-Marie, dit- il enfin, voyant que le paysan