Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/417

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
402
LES AMOURS

A02 LES AMOURS cies des vieux cadres.-De l'ombre des toi- les enfumées, çà et là, un visage ressortait, austère et pâle, qui semblait s'avancer dans le vide et projeter hors du cadre son front hau- tain. M. Williams regardait, les cheveux en dés- ordre, la joue livide. Il y avait de l'égarement dans ses yeux et de l'horreur. On eût dit que cette fantasmagorie nocturne avait pour lui un sens de menace et de repro- che, -et que ces fiers aïeux de Maillepré avaient à lui demander compte du malheur ou du sang de leurs fils...