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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/55

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LES AMOURS

40 LES AMOURS Ma langue se glaça dans mon palais.-Je donnai mon âme à Dieu... » Puis mes yeux se rouvrirent. Un bien- inoui courut par mes veines... tlo »Edmond!... pauvre cher ange!... »Je contins un cri. Je me levai.-Mon amour me donnait des forces... » Je traversai doucement, avec mon enfant dans mes mains, la chambre où vous dormiez tous. Je sortis. » Le froid me saisit au dehors... Je me trai- nai le long des murailles. Nul n'était plus là ponr épier ma plainte. J'atteignis, épuisée, le seuil du couvent