Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/73

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
58
LES AMOURS

53 LES AMOURA La nuit suivante, faible et brisée, je n'dus point la foree de retenir mes sanglots. Vous vintes, mon frère. Vous me demandâtes quelle était ma souffrance... Oh! depuis lors, n'est-ce pas ? je me suis ob etni mieux cachée! Je suis devenne Berthe la sta- tue. Plus rien de commun entre les angoisses de mon cour et ruon visage de marbre!... w... Tout était fihi. Qui m'ent attirée dé- sormais au dehòrs? Je fermai sur moi cetto porte lourde, au'delà de laquelle est le jour, l'air pur, la vie. Ie tichai de me Fare froide, immobile, insensible... Nous me jugeates ainsi, mon frère et ma Seur, trop vite peut-ètre... Qu'importe ?... Votre erreur est devenue la réalité.