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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/75

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LES AMOURS

LES AMOURS HMon frère, si Dieu veut que Maillepré se relève un jour, vous deviendrez puissant et glorieux autant que l'étaient nos pères. Vous en ètes digne.En ces jours de honheur, je vous en prie, ne repoussez point avec dédain la mémoire de la pauvre Berthe. Elle meurt innocente. Vous seul avez son secret. Votre écusson n'aura point par son fait de tache aux yeux du monde, et son åme est vierge devant l'oeil de Dieu. » Si vous ètes riche, donnez-lui place au sépulcre que votre pieux amour élèvera sans doute à notre père et à notre mère. Donnez place à Berthe et à son enfant... » Ma seur, quand vous saurez tout ce que