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Page:Féval - Les Belles-de-nuit ou les Anges de la famille, tome 3, 1850.djvu/69

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XIX

le souper de penhoël.


Derrière la porte, Blaise et Bibandier se frottaient les mains de compagnie : comme si nul drame ne pouvait se jouer en ce monde, sans qu’il y ait à côté la farce honteuse ou bouffonne.

— Ça n’est pas drôle, tout de même, dit le fossoyeur, de recevoir congé à une heure pareille !

— Et par un diable de temps ! ajouta M. Blaise : ils vont être fameusement saucés, les pauvres canards… Quel vent !

— Et quelle ondée !… il tombe des gouttes