Aller au contenu

Page:Féval - Les Belles-de-nuit ou les Anges de la famille, tome 4, 1850.djvu/236

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
232
LES BELLES-DE-NUIT.

à toutes nos volontés ? prononça Diane d’un ton impérieux.

Séid hésita, puis s’inclina en signe de soumission.

— Eh bien ! reprit Diane, je vous ordonne, moi, de faire atteler sur-le-champ une voiture… nous voulons aller nous promener.

— À cette heure de la nuit ?… murmura le noir.

— C’est notre volonté !… dit Diane.

Le noir s’inclina encore, et s’éloigna pour obéir.