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XXXV
TOUTE-PUISSANCE DE DOMENICA
Le charmant visage de la baronne exprimait depuis quelques instants la fatigue. Elle avait dit : « Je souffre, » et ce devait être vrai.
Son dernier cri dénonçait une angoisse et une terreur.
Domenica était ici comme le cavalier novice qui sent à ses talons une paire d’éperons tout neufs. Rien n’est plus aisé que de piquer, mais il y a la peur des ruades !
Domenica hésitait.
L’idée même qu’elle se faisait de son pouvoir absolu la portait à la clémence. Et c’était, au fond, une si bonne personne !