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Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 2.djvu/257

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qui lui offrirait sa fortune faite d’un coup réussi un mignon carambolage !

Depuis un instant, le Poussah adressait à la ronde des signes dont personne ne comprenait la signification.

Il avait débité ses dernières paroles en élevant la voix et avec une volubilité singulière.

On eût dit qu’il s’était mis tout à coup à jouer une comédie pour tromper, non point les personnes présentes, mais bien quelqu’un d’étranger qui pouvait l’entendre et qu’on ne voyait pas…