Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 2.djvu/301

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— Pourquoi pas ? grommela le Poussah d’un ton évasif.

— Dites oui, tout simplement.

— Eh bien ! oui.

— Et les autres ?

— Oui, dit Laure la première.

De mauvaise grâce, Mœris et Moffray répétèrent ce mot.

— C’est-à-dire, continua Mylord dont la taille semblait grandir, que je suis non-seulement le comte Domenico de Sampierre, mais encore votre maître à vous… à vous tous ! Dites oui.

Tout le monde obéit, cette fois.

— C’est bien, conclut Mylord. Allez et marchez droit ; vous aurez de bons gages si je suis content de vous !