Page:Féval - Les Compagnons du trésor, 1872, Tome I.djvu/359

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Il sonna enfin. Son valet de chambre recula d’un pas à la vue du joyeux visage qui se montrait à lui.

— Monsieur nous a fait une belle peur ! balbutia-t-il.

— Merci, fit Vincent. Montez-moi un potage.

— Est-ce que monsieur a dormi tout le temps ?

— Tout le temps, oui. Ajoutez au potage un bon bifteck.

— Alors, monsieur ne se ressent plus de ses… contusions ?

— Non, plus du tout. Vous me donnerez une bouteille de Clos-Vougeot.