Page:Féval - Les Compagnons du trésor, 1872, Tome I.djvu/395

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— Père, oh ! père chéri, je t’en prie ! Je n’ai rien objecté l’autre jour ; mais depuis, j’ai tant pleuré ! Prends-moi avec toi pendant les vacances. Je t’en prie, ne me laisse pas seule ici !