Page:Féval - Les Compagnons du trésor, 1872, Tome II.djvu/95

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


VIII

La chambre d’Irène


Nous traversons maintenant le carré, et nous prenons la liberté de pousser la porte sur laquelle était tracé en jolie écriture anglaise le nom de Mlle Irène, brodeuse.

Il pouvait être sept heures du soir. Le jour ne baissait pas encore, mais le soleil, voilé par les chaudes vapeurs du couchant jetait obliquement ses rayons plus vermeils.

Il y avait des rubis dans l’air, et le large paysage