Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/102

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— J’avais faim, mon bon monsieur… vous ne donnez pas souvent, et la vie est durement chère à Londres… si c’était comme là-bas, en Écosse…

— Silence ! dit impérieusement M. Edward ; — que font tes camarades ?

— Pas grand’chose… la vie est durement chère…

— Venez demain, on vous paiera ; mais, par le diable, plus de mauvais coup comme cela, maître Bob !

M. Edward s’achemina vers l’arrière-chœur. Bob le suivit, les mains dans ses poches, de l’air d’un chien que vient de corriger son maître.