Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/192

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Quelque anecdote piquante…

— Quelque médisance de bon goût…

— Ah ! mesdames ; mesdames !… Vous me flattez !.. Je parle sérieusement.

Le vicomte s’évaporait en vaniteuse allégresse. Il n’y tenait plus : il était au ciel.

C’était un petit Français d’âge moyen, de taille commune, de visage ordinaire. Ses cheveux, crêpés et pommadés, s’enroulaient en fer à cheval au dessus de son front étroit, suivant cette mode disgracieuse dite : à la Louis-Philippe. Son costume avait quelque chose de prétentieux et d’outré, bien qu’il ne ressemblât point toutefois aux costumes vainqueurs des jeunes dandys du commerce.