Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/21

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dy les suivait à une vingtaine de pas de distance.

En passant devant la porte de Custom-House[1], où deux ou trois douaniers prenaient le brouillard en fumant des cigares de contrebande, Paddy porta la main à son chapeau.

— De joyeux drôles, monsieur Bittern, dit-il en montrant les matelots.

— De gais coquins, monsieur O’Chrane, répondit le douanier.

— Un diable de brouillard ! ajouta Paddy.

  1. La Douane, dont les derrières donnent sur Lower-Thames-Street.