Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/212

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d’y compter… Sans elle, je ne répondrais pas de la petite.

— La petite se tâte… elle ne sait trop… Je crois qu’elle aime l’autre…

— Il y a la tante, d’ailleurs !…

La tante disait à sa nièce :

— Mon enfant, le plus fort est fait… Maintenant, le reste me regarde… Ah ! si ce n’était pour vous, Mary, je me dispenserais de cette ambassade… Pauvre Frank !.. Mais il s’agit de votre bonheur : je me dévouerai, ma chère fille.

Elle mit un baiser au front de miss Trevor qui était froid et humide.