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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/306

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cria Tom Turnbull. J’assomme le premier bavard !

Snail se retira prudemment au dernier rang.

— Point d’or ! répéta Turnbull ; savez-vous pourquoi il n’y a point d’or ?…

— Non, Tomy ; tu vas nous le dire.

— C’est que la place manque ! c’est que, depuis le haut jusqu’en bas, il y a des banknotes…

Tous les yeux brillèrent ; un sourd murmure s’éleva.

— C’est que, reprit Tom, il y a là, — derrière, — à deux pas, — de quoi faire chacun de nous millionnaire.