Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/319

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M. Smith se releva et remit son bureau à sa place.

— Il faudra me débarrasser de cela, dit-il froidement en montrant le cadavre de Saunie.

— Oui, monsieur Smith, répondit respectueusement Turnbull.

Comme si de rien n’eût été, M. Smith ouvrit le Times et reprit sa lecture où il l’avait interrompue, en attendant que Nicholas apportât la monnaie.