Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/360

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

plus que nous ne saurions dire, lui donnait naturellement entrée à l’hôtel, et il avait reçu une lettre d’invitation qui l’avait fort occupé durant huit grands jours. Pourtant, l’heure étant venue où il fallait revêtir l’habit noir et chausser l’escarpin, Stephen demeura boudeur, dans son fauteuil, vis-à-vis de son feu presque éteint.

À dix heures, mistress Mac-Nab frappa doucement à sa porte.

— Eh bien, mon enfant, dit-elle, tu ne pars pas ?

— J’aurais payé chacun de ces regards au prix de six mois de vie ! répondit Stephen avec chaleur.