Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/108

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

s’approcha de la fenêtre et souleva machinalement le rideau.

Une voiture débouchait en ce moment à l’angle de Regent-Street.

— Hélas ! poursuivit Jack, — il y a comme une fatalité sur la noble maison… Presque tous les Perceval sont morts en duel de père en fils… et la devise qui entoure leur écu semble une éternelle et sanglante menace…

Stephen tourna la tête pour lire la devise.

Mors ferro nostra mors ! murmura-t-il. (La mort par le fer est notre mort.)

Il est des instants où l’âme, malade, accueille sans combattre les plus superstitieux pres-