Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/164

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

pour habilement soudées qu’elles fussent. — La comtesse savait bien observer, mais elle perdait sa science auprès de Rio-Santo.

Elle le regarda un instant en silence. Son œil, triste et voilé d’abord, s’éclaira graduellement jusqu’à exprimer une sorte de quiétude.

Le marquis sourit doucement et s’en fut s’appuyer au dossier de son fauteuil.

— Vous étiez bien belle hier, Ophelia, murmura-t-il à l’oreille de la comtesse.

Celle-ci se retourna, et son front toucha presque la bouche de Rio-Santo. Elle se baissa honteuse.