Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/223

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— Donne-moi du tabac, Mich ! dit Loo dont la tête était déjà lourde d’ivresse.

— Tu vois si je sais miauler, beau-frère ! s’écria Snail. Sais-tu aboyer, toi ?

— Ce n’est pas un métier, cela, répondit le grand garçon en haussant les épaules.

— Oh ! ce n’est pas un métier !… Combien gagnes-tu, Mich, à décharger les allèges sur le port ?

— Deux shellings, pardieu ! c’est connu.

— Deux shellings… bien !… Et combien gagnes-tu dans ton métier de filou ?

— Parle bas, petit drôle…