Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/261

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— Vicomte, je cherche mon flacon dit une voix brève et cavalièrement timbrée, à l’intérieur.

— En vérité, charmante, en vérité !…

Le vicomte bondit, rentra dans sa voiture et trouva le flacon. Cela fait, il redescendit et tendit de nouveau la main.

— Je suis sûre, vicomte, dit la voix cavalière, que vous avez égaré mon éventail !

Le vicomte rebondit, escalada le marchepied et fut assez heureux pour trouver l’éventail demandé.

— Allons, diva mia ! dit-il, donnez-moi votre main, je vous prie !