Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/295

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tion, et Susannah baissa de nouveau les yeux, mais pas assez vite pour qu’on n’y pût lire l’expression d’un doute.

Rio-Santo la contempla encore durant une minute.

— Madame, dit-il ensuite à la Française qu’il avait attirée au fond de la loge, — trouvez sur-le-champ un prétexte pour faire retraite… Il faut que cette jeune fille soit seule quand je reviendrai dans cette loge.

Cela dit, il salua Susannah et sortit.

Madame la duchesse douairière de Gêvres fut peut-être un peu blessée de ce brusque congé, mais il n’y parut point.

— Ma chère enfant, dit-elle, — j’aurais