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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/376

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te-Manor demeurait immobile et ennuyé depuis le commencement de la représentation. Le comte ne s’émouvait pas le moins du monde et ne semblait point s’attendre à l’orage qui grondait au dessus de sa tête.

— Je vous déclare, très cher, s’écria Lantures-Luces, que l’idée est ravissante, ma foi, au degré suprême !… Le fait est que chez nous, — là-bas, — à Paris, on vend des sucres d’orge aux grisettes… Je parle sérieusement… Mais comment diable ! très cher, ferai-je à vous voir quand vous allez être là-haut ?… Je n’ai plus mon lorgnon… Pour en revenir à votre idée, vrai, — sans plaisanterie, — je la trouve ravissante.