Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/42

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choisir des joyaux ; puis, sortant comme un acheteur qui a fait ses emplettes, il franchit le marchepied d’un magnifique équipage, attelé de deux chevaux, dont les pareils ne se fussent peut-être point trouvés à Londres, — fût-ce même dans les écuries sans rivales du marquis de Rio-Santo.

À peine était-il étendu sur les coussins, que l’équipage partit au galop, brûlant le pavé dans la direction des parages fashionables du West-End.