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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/84

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puisse désirer. L’une de ses épaules se haussa, tandis que l’autre s’effaçait ; son bras gauche, tordu et retourné, joua merveilleusement la paralysie. Sa jambe gauche volontairement raccourcie, boita et donna à toute sa personne un mouvement de tangage qui faisait compassion à voir.

Il jeta autour de soi un regard circulaire et cauteleux pour s’assurer que le trottoir était pur de tout agent de police.

Un second regard tria, parmi la foule, une vieille dame au grand chapeau noir qui ne pouvait être moins que la veuve d’un patron de barque ou d’un bosseman décédé au service de l’état.